L’avis historique de 1978 dans Marquette National Bank c. First of Omaha Service Corp. La Cour suprême a statué qu’en vertu de la Loi sur la Banque nationale, une banque nationale a le droit d’exporter le taux d’intérêt autorisé par l’État où la banque est située à des emprunteurs situés ailleurs. L’article 521 de la Loi de 1980 sur la déréglementation des institutions de dépôt et le contrôle monétaire (« DIDMCA ») a conféré des pouvoirs d’exportation de taux équivalents aux banques agréées par l’État et assurées par la FDIC.
Ces pouvoirs d’exportation des taux d’intérêt (qui s’étendent également à certains frais), associés aux avancées technologiques de ces dernières années et à l’avènement des programmes de « modèle bancaire » et de « banque en tant que service » (BaaS), ont créé un assortiment robuste et compétitif de produits de crédit pour les consommateurs.
Toutefois, l’exportation des tarifs et les programmes qu’elle permet sont de plus en plus soumis à des contestations provenant de sources diverses.
Dans cet épisode en deux parties, qui réutilise des parties d’un récent webinaire, nous décrivons la nature de ces attaques, les défenses déployées par l’industrie et qui remporte ces concours jusqu’à présent, et abordons ce que l’avenir pourrait réserver à l’exportation des tarifs.
Nous commençons la deuxième partie par une discussion sur les États qui ont adopté, ou envisagent d’adopter, des lois sur les « vrais prêteurs » qui visent à requalifier les fintechs et autres prestataires de services bancaires en prêteurs, ce qui empêche la banque d’origine d’exporter les taux et les frais. Nous discutons ensuite des mesures d’application des lois sur les « vrais prêteurs » et des efforts déployés par les procureurs généraux des États, ainsi que des développements des litiges sur les « vrais prêteurs », y compris les cas où les clauses d’arbitrage ont été confirmées, ce qui a conduit à ordonner l’arbitrage dans le cadre de prétendues actions collectives. Ensuite, nous parlons des attaques contre la doctrine de la « validité au moment de l’octroi » (qui prévoit qu’un prêt qui n’était pas usuraire au moment de son octroi ne devient pas usuraire après avoir été transféré à un tiers), et des réglementations sur la « validité au moment de l’octroi » adoptées par l’OCC et la FDIC. Nous donnons ensuite quelques conseils sur la manière dont les plaignants du secteur qui cherchent à renverser les lois défavorables à l’exportation des taux pourraient récupérer les honoraires d’avocat. Nous concluons ensuite par un examen des affaires récentes de la Cour suprême dont les résultats sont susceptibles d’affecter les pouvoirs d’exportation des taux et les réglementations connexes.
Alan Kaplinsky, conseiller juridique principal au sein du groupe de services financiers aux consommateurs de Ballard Spahr, modère l’épisode, rejoint par John Culhane, Joseph Schuster et Ronald Vaske, associés du groupe, et Mindy Harris et Kristen Larson, conseillers juridiques du groupe.
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Parutions:
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