Par Laurence Wauters
Il s’appelait Enzo, il avait neuf mois. De lui, durant les quatre journées de procès de sa mère devant la cour d’assises du Hainaut, à Mons, on n’a pas vu de photo, si ce n’est celle de son petit corps sans vie sur la table d’autopsie. Les infirmières qui se sont occupées de lui parlent d’un bébé « facile, souriant », qui « se laissait soigner » sans rechigner. Maigres traces d’une trop courte vie commencée le 19 octobre 2018 et terminée le 22 juillet 2019, après un ultime étouffement.
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