La candidate de « Mariés au premier regard » Laura a connu une grosse mésaventure. La jeune femme a été victime d’un AVC. Et cela aurait sans doute pu être évité si elle avait été prise au sérieux dès le début.
L’AVC de Laura (Mariés au premier regard) dû à une erreur médicale, ses révélations hallucinantes (EXCLU)
© M6 Laura de
© M6 La jeune femme a été hospitalisée Laura de
© M6 Mais elle est passée par différentes étapes avant que le diagnostic ne soit posé Laura de
© M6 La jeune femme a été victime d’une erreur médicale Laura de
© M6 Un neurologue a heureusement découvert ce qu’elle avait à temps Laura de
© M6 Son mariage avec Anthony a toutefois été annulé
© Instagram Laura, candidate de
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Elle fait partie du casting de Mariés au premier regard 2023. Laura (27 ans) a eu la chance d’avoir une compatibilité à 77% avec Anthony (31 ans). Mais tout ne s’est pas passé comme prévu. A la suite d’un AVC (accident vasculaire cérébral), leur mariage a été annulé. Un bouleversement sur lequel elle s’est confiée en détail auprès de Purepeople. L’occasion de découvrir que les médecins qu’elle a consultés en premier lieu n’ont pas du tout pris son cas au sérieux.
Laura est « une miraculée« . La belle brune est allée aux urgences une première fois le 9 août, car elle avait « de grosses crises de migraines et un engourdissement du côté gauche« . Mais on l’a vite renvoyée chez elle en lui disant qu’elle encombrait les urgences et que prendre du Doliprane suffirait à la soulager. On lui a tout de même donné un scanner à faire, puis elle est rentrée chez elle. « En attendant le rendez-vous, quinze jours se passent. Quinze jours durant lesquels j’ai des douleurs atroces à la tête, j’ai des nausées et des engourdissements au niveau du visage et de la langue. Une horreur« , a précisé la candidate.
Une fois les quinze jours passés, Laura a enfin pu avoir son rendez-vous médical pour réaliser son scanner. Une fois le compte-rendu entre ses mains, on ne lui a toutefois donné aucune explication. Une semaine plus tard, à cause de douleurs, elle a donc contacté un ami à elle qui était médecin au CHU de Montpellier. Elle lui a expliqué qu’elle était « désespérée » car elle n’avait aucune réponse à ses questions et qu’elle souffrait le martyr. Il a donc contacté un ami neurologue afin de lui venir en aide. « Il n’a rien vu et a dit que je devais passer une IRM. Il se passe encore quinze jours et mon inflammation continue à s’aggraver. Moi je suis de plus en plus mal. Donc le 26 août, je passe cet IRM et ce qui est complètement dingue, c’est que deux heures après l’avoir fait – dans la même clinique où j’ai été recalée – un radiologue me dit que je n’ai rien« , a poursuivi Laura.
Je n’ai rien compris à ce qu’il se passait
Persuadée que quelque chose n’allait pas, Laura a de nouveau contacté son ami pour avoir l’avis de son proche qui est neurologue. Ce dernier a réussi à lui trouver un créneau dans la journée et heureusement ! « En ouvrant l’IRM, il est devenu blême. Il m’a dit qu’on allait descendre en urgences aux soins intensifs car j’avais fait un AVC et que j’avais plusieurs lésions au cerveau. On m’a dit que plusieurs vaisseaux étaient nécrosés et que le sang ne passait presque plus. Il a ajouté que mon pronostic vital était engagé et qu’à tout moment, je pouvais mourir ou devenir hémiplégique si ça se bouchait complètement. Je n’ai rien compris à ce qu’il se passait« , a-t-elle avoué.
Par la suite, elle est donc restée durant quatre jours en soins intensifs, « alitée à 100%« . Laura ne pouvait même pas lever la tête. « J’avais de grosses doses de médicaments avec des crises de tachycardie. Au bout de quatre jours, on a vu une progression, donc on m’a monté dans une chambre. J’ai été hospitalisée dix jours et j’ai passé une batterie de tests. Ensuite je suis restée un mois et demi chez ma maman car j’avais encore un risque de faire un AVC« , a-t-elle conclu.
Depuis, elle n’est malheureusement pas guérie et suit encore un lourd traitement. Elle est en outre suivie de près par le corps médical.
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